Les Amantrames :

 

"Je suis venu encore une fois avec toi pour ne pas te laisser croire s'il n'y a rien à croire.

 

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Sarah disait qu'il fallait qu'elle s'aime autant qu'elle aimerait aimer les autres. On ne peut pas faire de différence.  Ou on aime, ou on n'aime pas. Tant que tu ne t'aimeras pas autant que tu peux aimer les autres, la joie ne sera pas en toi.

 

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Il faut faire un pont, un pont entre ton passé et toi et visiter ce nouveau continent. Sur ce continent tu dois être un visiteur plein d'amour pour tout, pour la petite fille, pour tout le monde, pour tous ceux que tu verras.

 

 Il faut changer la couleur, comme quelque chose qui a une certaine couleur, une certaine lumière, comme un temps de pluie. Tout est gris. Il faut que tu apportes le soleil avec toi. Il ne faut pas avoir peur. Car les images sont là, elles t'attendent.

 

C'est un travail à faire pour toi. Les autres, que ce ce soit dans notre passé ou dans le présent, finalement, sont éclairés par notre propre lumière.

 

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Tu peux demander l'inspiration pour tout. Pas seulement pour une évolution spirituelle. Mais il faut demander l'inspiration au moment juste, au moment où l'inspiration reçue, tu puisses t'en servir. Rien ne sert de poser, de demander trop longtemps avant. C'est une question de confiance et de vivre le présent. Il n'y a pas de soucis à se faire. Tout prend du temps. L'essentiel est de vivre le temps avec amour et joie.

 

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Il y a un moment où on doit réaliser sa propre grandeur. Tant qu'on ne la connait pas, elle ne peut pas s'accomplir, s'épanouir. Tu as fait confiance en nous. Maintenant, il faut faire confiance en toi.

 

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L'énergie ne vient pas de l'inactivité forcément ou du repos. L'énergie vient quand tu es centrée, un peu comme un interrupteur. Entre le ciel et la terre, il y a une place qui nous attend. Si l'on n'y est pas, l'énergie ne passe pas. Si l'on y est, l'énergie passe. Tout se fait avec aisance et joie. Tu apporteras plus à ton entourage en étant à ta place qu'en voulant à tout prix les aider.

 

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Le chemin est simple. La souffrance vient de ce que les choses en nous ne sont pas claires, par rapport à ce qu'on veut et pourquoi on le veut.

 

La souffrance est contradiction.  Elle est en quelque sorte un combat entre ce que nous sommes profondément et la personne qui se construit. Comme si on essayant de faire entrer une forme carrée dans une forme ronde, en poussant, en appuyant, et le carré souffre de toutes ces contraintes.

 

Il faut unifier, toujours se tourner vers la simplicité. Plus les choses sont compliquées, plus on s'éloigne du centre. Un peu comme un faisceau de lumière : plus on s'éloigne, plus on tombe dans l'obscurité. Plus on s'en approche, plus on est illuminé, éclairé. La simplicité est le dernier pas vers l'Union, l'Union et le Tout. L'union est le Tout."